samedi 27 avril 2013

sagesse

" Un con ça se définit pas, on peut donner que des exemples"

jeudi 25 avril 2013

des chansons d'amour dans des tubes de merde par sac de douze tu vois ?


Je débloque, j'déraille, j'débloque, j'déraille, j'déroque, c'est bagdad, c'est l'gros gros bordel, le méga souk. Ma tronche et mon putain d'coeur joue à saute mouton dans mon entre. Sa m'donne une putain de gerbe et un sale gout de sel dans l'bec après m'être vidé d'toute la flotte que j'avais. J'me sens tel une boite de thon émiétté dans laquelle il reste ketchi. Mes yeux sont rougies et cernés, j'crois que j'ai choppé l'chagrin d'amour, et franchement c'est pas joli-joli à r'garder.

(envoyer moi vos chameau, je troque tout contre un accordéoniste amateur de jazz tziggi et de soirée chèvre/p'tit coup d'rouge, un peu de terre et de peinture plein les pates qui boufferais à même le sol, un sourir ravageur et un air légèrement négligé voir même fou. je suis la muse bonsoir,  et je préfèrerais que le chameau en question est moins de 70 ans et cinq gosses du double de mon age. si vous en trouver dans l'genre bah t'né moi au jus hin les cocos.) nanj'déconne. 

mon histoire ressemble à une grosse connerie, allez vous-en matter une merde de télé réalité merdique sur vos télés, t'façon c'est la même j'devrais aller chouiner sur tf1 p't'être bien qu'sa m'calmerais. Salut les zigottos et  prenez soin d'vos yeux qui pétillent comme des sodas gazeux surdosés en sucre et d'ceux d'votre p'tit(e) fiancé(e) parcequ'en soit l'amour c'est un plan foireux, et c'est pas dit qu'sa dure.

Un de perdu, un de tout seul !

mercredi 24 avril 2013

comme quelqu'un qu'a plus personne s'endore sur son téléphone. (Projet numérique, Ailleurs.)


extrait de la boîte à mot sous forme de papier reliés n°2

on a tous besoin de quelqu'un pour sourire - seules deux choses demeurent éternelles : l'amour (les jolies jeunes filles) et la musique noir américaine - il était presque toujours de bonne humeur, le reste du temps, il dormait - la porte claqua avec un bruit de main nu sur une fesse nu - mourir très fort - la région des nuages - il faut que je me fasse un noeud dans le doigt pour ne pas oublié - un pot en fleur - il est là, et ça lui parrait difficile - si je te dis peut-être, c'est que j'émet un doute - quelques goutelettes de soleil - comme une méduse de papier mâché écartelée par un enfant cruel - et la majeur partie du monde se mit à compter pour du beurre - chaques secondes à sa place - Il avait l'air triste, pas moi. J'avais pas l'air, j'avais l'air de rien - pour ne pas oublier qu'un jour de pluie, t'avais oublier de m'aimer - suivre le chemin de la lune - elle avait une peau ambrée, savoureuse comme de la pate d'amande - Dieu avait un oeil au beurre noir, et l'air pas content - je vous écrit ces quelques fleurs, avec mon coeur à l'intèrieur.

(Je lis actuellement "L'écume des jours" de Boris Vian, voilà pourquoi beaucoup de cet extrait du carnet sont des phrases du bouquin ...  Je pense que bon nombre d'entre vous les reconnaîtront d'ailleurs. )

sur le toit d'Juliette & d'Anna .. pim pam







vendredi 12 avril 2013

Les phrases toutes faites. Les "c'est comme ça". Je ne veux plus attendre, et je n'espère plus.

Peut-être un jour, a-t-on eu raison lorsque l'on disait que la peine activait nos doigts.
La peur tient le corps tout entier, la peur elle même effraie. Je ne suis plus sur de vouloir écrire. Si cela doit signifié ce que ceci signifie, des jours de pluies et des miettes de coeur qui s'éparpillent. Comme du sable s'enfuit à l'arriver du vent, une armée de lucioles à qui l'ont rend leur liberté et des milliers de lueurs qui se meurent. Alors je préfèrais garder silencieuses et endormies les accolades de mots et le rythme des lettres. Bon sang. Y a-t-il finalement plus dur que la mort de l'amour même ? Mon intèrieur se brise, mon ame se perd. Y a-t-il quelque chose qui effraie plus ? L'amour est mort. Voilà. L'amour est mort. Et même si ce n'est pas tout à fait juste, c'est à peu près cela. C'est un jour de pluie, voilà tout ce c'est. Gris et venteux, triste et terne sans espoir. L'éclaircit n'arrivera pas, elle n'arrivera plus. Une pluie de larme qui dévale les collines de mon visages sans savoir même quand l'averse cessera. L'inondation de mes draps, la tempête des dernières miettes. L'espoir est mort, est noir. Lui aussi. Comme l'amour. Et comme la pluie. Ni les lucioles dans les yeux, ni les papillons ne reviendront. Il a fuit. Elle a fuit. L'existence elle même n'a plus aucunes réponses, il fait noir partout. La passion est lâche, laide. Et l'amour est noir. Et il n'y a aucune autre vérité là dessus, même si j'aurais envie de t'entendre me dire que j'ai eu tord. L'amour. est. mort.

mardi 9 avril 2013

On ne peut pas dire que je tombais amoureuse. Je volais plutôt. Je volais amoureuse.


Partir.

"MESSAGE IMPORTANT. Je cherche quelqu'un en urgence pour déscendre CE W-E ou LA SEMAINE prochaine dans le Sud. EN STOP. J'ai un logement sur place, il suffit d'être munit d'approximativement 60e. N'IMPORTE QUI. Qui se bouge le fion ? "

Voilà ce que j'ai publié sur facebook hier. J'ai eu des dizaines de réponses. J'pensais pas que ce système fonctionnerais, mais il me faut réellement quelqu'un. Quelqu'un de sur à 14 245%; Et si c'est un ami, c'est encore mieux. Si je ne connais que peu cette personne, c'est encore mieux. Et si nous sommes plusieurs, c'est ENCORE mieux. Le principe c'est de changé d'air, de faire quelque chose de non organisé, et de pas réfléchis. Dieu merci pour une fois. De partagé ça, de pensé à sois, à nous. De voir enfin le soleil, de faire la fête face à la mer et de profité sans compté. Soyez courageux, prenez la route avec moi. On n'a pas besoin de tant d'argent, j'engage n'importe qui pour 50e dans le slip, peut importe. Et si je n'arrive pas à vous convaincre par ces mots, par ces photos. Alors je vous suggère de comparé la météo alsacienne à celle de Six-fours-les-plages... Arrêtez de réfléchir.




jeudi 4 avril 2013

extrait de la boîte à mot sous forme de papier reliés (photo : la Charente Maritime/ plus belle région de france)

Percer des trous dans l'épaisseur de ses murs - trois fois rien c'est déjà beaucoup - un oeil tout nu - enfermer les esprits un peu trop libérer - j'habite Paris, banlieue 13 - la terre elle tourne trop vite pour nous - faire une crise de froid - on a toute la vie pour réussir - on était tout les deux d'accords pour pas le faire, et on l'a fait quand même - du champagne et du coca - quelque chose suit son cours - avaimousse pamepame - des mots qui trainent partout - essayer de vous demander pourquoi on vous demande - vous êtes un gars honnête, vous mentirez - annule ta gueule - Rose, c'est vous, vous qui souffrez de l'opression de la société, Rose c'est un moule dans lequel vous vous engouffrez - se dresser face au monde - sortir l'amour - des petits pieds fins - parceque j'aime bien regarder ta jupe qui fait tourner mon monde entier.

(Pour les copains tripoteurs de mon petit carnet, et pour ceux qui ne connaissent pas. Tenter l'expèrience et garder un petit cahier sur vous chaques jours, chaques moments, chaques minutes. Et enrichisser chaques pages, de chaques choses entendu supposé vous inspiré.)

lundi 1 avril 2013

Trouvailles de puces #1

 (Un chouette sacos/ besace pour 2€, kdo à la Méloche.)
 (Un vieil argentique Kodak qui ne fonctionne plus, 3€ - un autre pour 1€)
 (Mon nouvel ami le coussin/peluche, 1€, j'ai nommé Roblochon)
 (Sac à dos, 1€)
(Et ce sublime gilet pour 2€)

Song from childhood

T'être bien qu'vous aussi, vos parents passaient ces chansons en boucle quand vous étiez encore que d'la marmaille .